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Nom du Personnage de RP : Bilbo Sacquet
Taille Du personnage de RP : Environ 1m10
Caractère et personnalité du Personnage de RP et description physique : Monsieur Sacquet n'aurait jamais cru lui même capable de faire un long voyage à travers les terre du Milieu, surtout pour y déloger un Dragon. Lui qui connaissait si bien le verbe "paraisser" et préferait entretenir Cul-de-Sac que la compagnie des autres.
Mais tout celà est très loin dans le passer, Bilbo est désormer à un âge très avancé et ne peut plus faire toutes ces choses qu'il pouvait faire étant jeunes. La fatigue le gagne de jour en jour, portant sur lui un fardeau bien plus lourd encore.
Certe, Bilbo est un vieux Hobbit, mais un Hobbit aprècier par nombre d'êtres et peuples des Terres du Milieu. Il prépare ainsi en secret, son dernier départ vers la maison d'Elrond avant son dernier et plus longt voyage.
Mais avant, histoire de ne pas partir avec regret, Bilbo, ainsi que plusieurs amis de Hobbitbourg, prépare les festivités de son cent-onzième anniversaire. Devant laisser Cul-de-Sac à son plus brave et fidéle neveu, il sait aussi qu'il devra lui laisser le poids de son lourd fardeau.
Histoire du Personnage : ( Ceci est un exposé que j'ai fait il y'a peut de temps, certe cest copier coller, mais ça vient de moi)
Au nord des Terres du Milieu, descendirent des montagnes un groupe de Nains. Armés de pelles et de pioches, ils traversèrent les Grandes vallées d’Arnor à la suite d’un Magicien prénommé Gandalf.
C’est ainsi que part un beau matin, les 14 compères : Balin, Dwalin, Gloìn, Oin, Ori, Fili, Kili, Dori, Nori, Bifur, Bofur, Bombur, Gandalf et Thorin Ecudechêne arrivèrent à Hobbitbourg, dans la Comté.
Lorsque le respectable Bilbo Sacquet entendit frapper à la porte de son confortable trou de hobbit, sous la colline de Cul-de-sac, il ne se doutait pas qu’il allait ouvrir au magicien Gandalf, accompagné par une ribambelle de nains barbus lancés sur les traces du trésor de leurs ancêtres. Leur chef, Thorin Ecudechêne, fils de Traïn (lui-même fils de Thror), lui expliqua le but de leur visite, non sans avoir auparavant dévalisé son garde-manger :
Loin à l’Est, par-delà les Monts de Brume, se dresse la Montagne Solitaire. Nos aïeux y avaient creusé de magnifiques cavernes, comme seuls les Nains en ont le secret. Ils y entassaient leur or, leurs joyaux et leurs pierreries, jusqu’à ce que le dragon Smaug les chasse et prenne possession des lieux. Nous avons décidé d’y retourner, d’occire Smaug, et de récupérer nos biens, afin que moi, Thorin Ecudechêne, redevienne le seul Roi sous La Montagne. Mais nous avons pour cela besoin d’enrôler un expert-cambrioleur, et Gandalf nous a soufflé le nom de Maître Bilbo...
Le hobbit n’avait rien d’un cambrioleur, et il s’était même jusqu’à présent soigneusement tenu à l’écart de toute espèce d’aventure inconfortable. Il se retrouva pourtant malgré lui, le lendemain matin, chevauchant un poney à la suite de treize nains et d’un étrange magicien lui assurant qu’il y avait beaucoup plus en lui qu’il ne l’imaginait.
Il eut rapidement l’occasion de regretter de s’être laissé embarquer dans cette expédition. Capturés par des trolls, ils échappèrent de justesse à leur marmite grâce à l’intervention expresse du magicien. Fort heureusement, ils purent se remettre de leurs émotions en étant accueillis dans la Maison de Fondcombe, au fond de la vallée de Rivandelle, à l’est d’Arnor.
Leurs hôte, le sage Elrond, leur présenta ses amis les elfes, et ils s’émerveillèrent de leurs histoires et de leurs chants.
A peine repartis, ce sont d’affreux gobelins qui les firent prisonniers dans les Monts Brumeux et les entraînèrent au fond de leur royaume souterrain.
Là encore, Gandalf les tira d’affaire en tuant le Roi des Gobelins. Bilbo s’égara au cours de sa fuite, et se retrouva seul dans un endroit où même les gobelins hésitaient à s’aventurer. Il y trouva un anneau magique lui donnant le pouvoir de se rendre invisible, ce qui lui permit d’échapper à la colère de son propriétaire. Par la suite, celui-ci, un certain Gollum, traqua sans relâche le voleur sans que quiconque ne l’aperçoit, il n’avait pas alors conscience à l’époque que quelqu’un d’autre le rechercher aussi.
Bilbo parvint à retrouver ses compagnons à l’extérieur, mais il cacha l’épisode de l’anneau. Ceux-ci n’eurent d’ailleurs guère le temps de le questionner, car des Wargs, des loups sauvages domestiqués par les Gobelins, étaient déjà lancés sur leurs traces. Nos amis finirent par se retrouver perchés au sommet des cimes d’un bois, encerclés par une meute hurlante. Ils ne durent leur salut qu’à l’intervention du Roi des Aigles et de ses fidèles sujets, qui les emmenèrent en sécurité par la voie des airs.
Après avoir pris congé de leurs sauveurs, ils demandèrent plus loin assistance à la ferme de Béorn, un changeur de peau. Celui-ci leur fournit provisions et montures, et leur indiqua le chemin le plus sûr pour traverser la forêt corrompue de Mirquebois.
Ce matin là, ils se mirent en route le cœur triste, car Gandalf devait les quitter, appelé ailleurs par des affaires urgentes de magicien. Désormais, il ne serait plus là pour les tirer de tous les mauvais pas. Laissant les poneys retournés chez leur maître, la troupe commença à entrer dans la forêt.
La traverser de la forêt dura plusieurs jours, dans lesquels la vu du soleil était une chose rare. Une nuit, entendant des voix et des chants, les nains se risquèrent à sortir du sentier, chose qui aurait put leurs être fatale.
En se réveillant le lendemain, Bilbo eut la surprise de se trouver face à face avec une araignée géante, qu’il tua d’un coup de dague. Il vu que tous les autres étaient déjà emballé comme du saucisson, attendant d’être mangé au soupé. Le hobbit ne tarda pas a usée de malice pour éloigné les araignée, et revint délivrés les Nains, sauf Thorin, qui lui avait disparu.
[...] (Là il manque une partie, que je referait dès que possible.)
Partis tôt au matin, l’ascension dura toute la journée. Ils passèrent en milieu de journée devant le porche principal, inondé de fumées, personne ne pouvait passer là a moins d’être asphyxier. Parcourant encore de bons kilomètres, ils arrivèrent un peut avant la tombé de la nuit, devant l’entrer secrète, du moins, devant un grand mur dont aucune porte ni était sculpté, un cul-de-sac en somme.
Au couché du soleil, une grive arriva et gratta de ses griffes une pierre qui faisait face à la paroi lisse. La grive laisser entrevoir un petit trou, un trou de serrure. Thorin sorti donc la clef de ses ancêtre et la fit tourné dans la fente. Le mur lisse laissait entrevoir maintenant une porte entrebâiller qui donnait sur un couloir sombre et très étroit. Les nains se dirent qu’il était temps pour le hobbit de faire ce pour quoi il était venu faire.... Cambrioler.
Bilbo avança à tâtons dans ce couloir minuscule et affreusement chaud. Il commença à voir une lueur rouge au loin, il mit donc son anneau et alla inspecter les lieux. Qu’elle fut sa stupeur quand il se retrouva nez à nez avec un gigantesque dragon ronflant de tout son saoul, allongé sur des tonnes et des tonnes de trésors. Bien que Bilbo était invisible, le Dragon senti sa présence et commença à discuté avec le hobbit. Bien que très malin dans ces paroles, Bilbo ne dévoila pas grand chose de ses aventures, ayant pris pour ainsi dire la confiance du Dragon.
Tout aurait put s’arrêter là, Bilbo laissant le Dragon dormir en paie et rebroussant chemin, mais non. Le hobbit avait promis de voler quelque chose et c’est ce qu’il fut, il enfila un vase sous le bras. Mais même invisible le dragon découvrit la supercherie du cambrioleur et le contraint à dévoiler la vrais raison de sa venu. Furieux d’être au courant de la venu du descendant Thorin, le Dragon Smaug sorti dans une terrible rage de sous La Montagne et parti crier vengeance en direction d’Esgaroth.
Les nains et le hobbit profitèrent de l’absence du dragon pour commencer à inspecter les lieux. Ils s’équipèrent de cottes de mailles, de casques etc. ainsi que des présents pour les villageois d’Esgaroth. Ils étaient fin prêt pour la chasse au Dragon. Le hobbit trouva quand à lui le plus fabuleux des trésor : L’Arkenstone, une opale aussi grosse qu’un œuf d’autruche.
Pendant ce temps, à Esgaroth, la bataille fit rage entre ses habitants et le dragon. Il fallut tout le courage et toute la chance du monde pour qu’un seul homme, Barde de son nom, pour mettre chaos Smaug d’une seule flèche en plein cœur. Mais les dégâts de la cité furent désastreux, et il fallait bien que quelqu’un paye, quelqu’un qui avait sûrement mit aussi en fureur le dragon. Et si ce quelqu’un avait également péri grâce au dragon, il resterait alors un trésor à aller chercher. C’est ainsi que les habitants d’Esgaroth partirent à l’ascension de la montagne, et que le Roi des elfes fut très vite mis au courant le soir même.
Ayant apprit cela par les grives et les corbeaux, la compagnie partie ce barricadé dans la Montagne, derrière le grand porche. Armé de pelles et de pioches, ils bâtirent un mur pour consolidé la porte principal et pouvoir ainsi ce défendre face à l’ennemi. Devant la porte, le maître d’Esgaroth lui adressa ses revendications pour la mort de Smaug et la reconstruction de la ville, tout ce qu’il reçut était une flèche sur son bouclier, décoché par Thorin. Les hommes d’Esgaroth et les Elfes de la vielle forêt étaient dorénavant en guerre contre les Nains de La Montagne.
Le hobbit ne savait pas que faire, il parti donc voir du coté de l’ennemi grâce à son anneau. Voyant que le magicien Gandalf était en entretien avec le Roi des Elfes, le mitre d’Esgaroth et Barde, il retire son anneau et alla les rejoindrent pour faire part de sa situation. Apres mainte paroles, il trouva astucieux de marchander l’opale que Thorin convoite depuis la fouille de La Montagne, contre son immunité total. Bilbo reparti donc revoir les nains, pour ne point dévoiler tout de suite sa traitrise. Le lendemain, à la mi-journée, le mitre d’Esgaroth ordonna à Thorin de se rendre et lui présenta l’Arkenstone.
Même si il fut furieux, Thorin céda et promi d’échanger le quatorzième du hobbit à la ville d’Esgaroth, et laissa également Bilbo repartir de La Montagne. Plus tard le lendemain, pendant la préparation des Nains à se rendrent, un cor sonna au loin, Dain des Monts de Fer avait répondu à l’appel des grives et se trouva tout prêt d’Esgaroth. Dain était venu en ami aider ses frères à retrouver le royaume sous la montagne, quel ne fût pas sa stupeur quand il vit La Montagne encerclé par tout ces hommes et Elfes.
Restant à observer les assaillants, les nains de Dain furent surpris par une attaque surprise des Elfes, ils ne tardèrent pas à riposter eux aussi. La bataille ne dura heureusement pas fort longtemps, une obscurité subite s’abatis sur le royaume de Dale, les Gobelins et leurs alliés étaient eux aussi partis en guerre contre La Montagne, du moins contre Thorin et les siens. Ainsi débuta la bataille des 5 armées, où beaucoup disent qu’elle fût si pitoyable que même La Montagne se mis en guerre. La grande erreur des Gobelins fut de passer devant le porche de Beorn, qui arriva avec l’aide des aigles au couché du soleil, moment précis où Thorin et les siens partirent également à l’assaut. Cette bataille fût fatale pour lui.
Le bien l’emporta sur les Gobelins et maintenant que Thorin reposait à jamais sous La Montagne, les querelles disparurent, Dain fut proclamer Roi sous La Montagne en compagnie des siens et Bilbo repati pour le chemin du retour en compagnie de Gnadalf. Passant de bon moment dans les maisons des Elfes, de Beorn et d’Elrond, le chemin du retour dura des mois. Arrivé enfin devant Cul-de-sac, il se retrouva devant un marcher aux puces, chez lui !
Aider de Gnadalf, il retrouva fort heureusement toute ses affaires dans la journée, pouvant ainsi se reposer en servant le thé à son invité et parler des bons moments.
Quelques années passèrent quand un jour d’automne, on frappa à sa porte. C’était Gandalf accompagné de Balin qui passaient tout deux dans la région, profitant ainsi de l’occasion pour prendre des nouvelles de leur ami Bilbo. Celui-ci leur fit lire les premières pages de son livre : « Bilbo : Aller et Retour d’un Hobbit », tendit que Balin lui confia qu’il était venu une bonne fois pour toute éradiquer les Gobelins des Monts Brumeux, mais ceci est une autre histoire.
C'est aussi ce jour là que Gandalf eut vent de l'ancien porteur de l'Anneau magique. Il parti plusieurs fois en expédition à travers les Terres du Milieu pour lui mettre la main dessus, en vain.
Daìn Piedefer, devenu roi sous la Montagne (plus connu maintenant sous le nom d'Erebor), à eut l'étrange visite de cavaliers Noirs et ténébreux. Ces crèatures encapuchonès ne prononcèrent que deux mots aux oreilles des Nains qui tentèrent d repousser ces monstres : "La Comté" et "Sacquet". Daìn dècida d'envoyait vers La Comté les plus brâves de ses sujets : Gloìn et son fils, ainsi que trois autres nains vers Kazad Dùm pour quérir Balin de la terrible nouvelle.
Gloìn et son fils Gimli sont tombés en chemin sur un bon ami à eux : Gandalf le pélerin Gris. Lui aprenant la nouvelle, Gandalf mis les 2 Nains en route vers Fondcombe et se pressant tant qu'il pût vers La Comté, n'oubliant pas l'anniversaire de son grand ami.
Enfance et origine, profession, premiers pas dans l'aventure. Autres :
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