Un survivant à la recherche d'aide

**Hamos** Mar 27 Jan - 20:21

Hamos arriva en vu d’Edoras, ces compagnons étaient tous mort soit dans les nombreuses attaque des gobelins, soit mort de fatigue et de faim.
La cité se dresse sur un amas de roche, en sont plus haut point se trouve le palais, entourer par une muraille de bois, entre celle-ci et la palais, des maisons et autres bâtiments garnissent Edoras.

Au loin derrière se dresse les montagnes blanches.
Hamos arrive à hauteur de la herse grande ouverte, et s’annonce :

Je suis Hamos Ehlias Neltharïn, fils Ahlias Neltharïn, fils d’Hamas Ahlias Neltharïn, je viens des profondeurs de la Moria, j’ai été chasser par les gobelins, et je vient chercher refuge le temps de reprendre des forces !
Mes compagnons ont tous été tué soit par ces vermines qui peuplent nos mines, soit par la faim ou la fatigue, je suis le dernier survivant d’un groupe d’une cinquantaine de fiers guerriers.
Je demande votre hospitalité !

Theoden du Rohan Dim 22 Fév - 18:14

Au loin, les soldats qui gardaient la porte aperçurent quelque chose qui approchaient, lentement. Ils crurent d'abord à un animal, tant la taille de cette chose était petite. Cependant, au fur et à mesure, les soldats se rendirent compte qu'il s'agissait d'un nain. Celui-ci paraissait complètement essouflé, il avait du courir pendant un long moment avant d'arriver à Edoras.

Lorsqu'il s'arrêterent devant la grande herse, les soldats en haut des murailles de bois pointèrent leurs arcs vers le nain, même si il ne représentait pas un très grand danger, car s'il était un ennemi, il serait vite abattu avant même d'entrer dans la cité. Tout à coup, le nain s'écria :

Je suis Hamos Ehlias Neltharïn, fils Ahlias Neltharïn, fils d’Hamas Ahlias Neltharïn, je viens des profondeurs de la Moria, j’ai été chasser par les gobelins, et je vient chercher refuge le temps de reprendre des forces ! Mes compagnons ont tous été tué soit par ces vermines qui peuplent nos mines, soit par la faim ou la fatigue, je suis le dernier survivant d’un groupe d’une cinquantaine de fiers guerriers. Je demande votre hospitalité !

Immédiatement, le soldat en charge de la garde de l'entrée de la ville ordonna à un subordonné :

" Va quemander le Roi et demande lui si nous devons le laisser entrer ou pas ! "

Le soldat s'élança en direction du palais du Roi. Pendant ce temps, le nain restait à l'extérieur, toujours surveiller par les soldats du Rohan. Quelques instants plus tard, le soldat partit avertir le Roi revient. Il dit alors :

" Nous pouvons le laisser entrer, le Roi va l'accueillir. "

Le commandant acquieça, et il ordonna :

" Ouvrez la porte ! "

Dans un fracas, la porte s'ouvrit, et deux soldats sortirent à la rencontre du nain. L'un d'eux s'exclama :

" Veuillez nous suivre s'il vous plait, le Roi souhaite vous entendre. "

Les soldats se mirent à marcher, l'un derrière le nain, et l'autre devant lui. Ils partirent en direction du palais...

**Hamos** Dim 22 Fév - 19:29

Hamos reçus une réponse au bout de quelque instant, mais les soldats avaient pointés sur lui leurs arcs armés, et il se dit en lui-même, ‘ ni y a-t-il plus de personne capable de reconnaître ami ou ennemis, les nains ennemis ne sont pas courant pourtant ‘ mais garda sa pour lui-même, il n’était plus en état de combattre, et même si il l’avait été il n’aurais rien pu faire en bas de la muraille.[/i][/size]

La herse s’ouvrie enfin, mais deux soldat virent a sa rencontre, et l’encadrèrent, et pour montrer qu’il n’était pas un ennemis il attacha sa hache à sa ceinture, et les suivit, il traversa la cité, et vit dés gens apeuré, mais toute fois curieux, il le dévisageaient comme s’il était un orque, n’avais t’il jamais vu un nain se dit t-il.

Enfin il vit le Palais, de long escalier y menais, et Hamos les trouve bien grand pour sa taille, mais fit l’effort de se taire, il arriva devant la grande porte, et vit deux drapeau flottés au vent, un soldat ouvrit la porte, et ils la franchirent, une fois à l’intérieur il vit une grande salle, une tapis au centre qui allait jusqu’au trône, et sur les côté des pilliez, derrière ceux-ci il faisait trop sombre pour qu’il aperçoit quoi que se soit, mais il parvient tout de même à entrevoir des ombres se déplacer.

Une fois devant le trône il vit le Roi Théoden assis sur celui-ci, alors il s’inclina et attendit qu’il prenne la parole.

Theoden du Rohan Dim 22 Fév - 19:40

Les soldats emmenèrent le nain à travars les rues pavées d'Edoras, puis, ils montèrent les grands escaliers qui menaient vers le palais du Roi. Tandis que les hommes le montaient sans difficulté, le nain eut plus de mal car il était fatigué par la longue route qu'il avait parcouru, et car les escaliers n'étaient pas vraiment adaptés à la taille des nains.

Lorsqu'ils arrivèrent devant les portes du palais, deux gardes ouvrirent la grande porte et laissèrent pénétrer les deux soldats et le nain. Celui-ci observa avec attention l'intérieur du palais, tandis qu'il se dirigeait vers Theoden. Une fois en face du Roi, le nain s'inclina en signe de respect envers le chef des rohirrims, puis, il attendit que celui-ci prenne la parole.

Theoden se leva de son trône et descendit auprès du nain. Le fixant du regard, il lui dit :

" Je suis Theoden, roi du Rohan. Cela fait bien longtemps que je n'avais plus vu de nain sur mes terres. Depuis mon enfance pour être exact. Il faut dire que notre peuple n'a pas beaucoup de rapport avec les votres. Cependant, je vous souhaite la bienvenue dans ce royaume. On m'a dit que vous et votre groupe étiez pourchassez par une horde de gobelins. Est-ce vrai ? Racontez moi tout. "

Le roi continua de regarder le nain, et il attendit sa réponse...

**Hamos** Dim 22 Fév - 20:42

Hamos se fit recevoir par le Roi, et celui-ci lui demanda de raconter son histoire.

Je vais tout d’abord me présenter, je suis Hamos Ehlias Neltharïn, je viens de la Moria j’étais dans l’une des nombreuses mines qui exploitaient des minéraux t’elle que le mitril essentiellement pour nous et les elfes, de l’or et de l’argent, ainsi que du fer brut, pour les Hommes du Gondor et Rouhan, j’étais dans l’une des mine les plus riche en minéraux, et un jours les gobelin ont commencer à envahirent les mine une par une, au bouts de quelque jours de préparation ce fut notre tour, et nous nous sommes préparer mes frère et moi à de simple gobelin, mais il ni avait pas qu’eux……

Hamos fini sa phrase dans un souffle, et repris avec beaucoup moins d’entrain qu’au début du récit.

Ils nous avaient simplement envoyer des éclaireur pour évaluer nos forces, sais ainsi qu’ils ont fais venir des trolls, vagues après vagues nous les repoussèrent, je voyais mes frère tomber à mes côté sous les coups puissant de chaîne, de roc, de masses de ces trolls, et au final ils firent venir le ‘Balrog’.

Cette être que l’ont croyais endormis était la devant nous, nous obligeant à battre en retraite, pour finalement nous retrancher dans une salle, dans celle-ci nous tenions les positions, jours après jours, puis la faim se fit sentir, elle nous poussa à sortir de nos mine, alors à ce moment j’ai décidez avec mes frère d’arme de venir jusqu’ici, pensant que les gobelins qui nous traquais serais anéanti pour vos cavalier.

Voilà mon histoire et voilà pourquoi je suis ici, je suis le dernier survivant de 700 fier guerrier mort dans l’espoir qu’un jours nous les vengeront, et sais ce que je me suis jurer, mais à présent il ne devrais pas tarder à arriver il sont une centaine tout au plus, et ne sont surment pas loin.

En finissant sont histoire il jeta un coups d’œil vers la porte en menant sa main sur sa hache, ce qui fit que les soldat présent portèrent leur main sur la garde de leur épée.

Theoden du Rohan Dim 22 Fév - 21:12

Le Roi écoutait attentivement le récit du nain. Ainsi, c'était un mineur de la Moria, qui c'était échappé suite à une attaque de gobelins. Theoden n'avait jamais vu la Moria et n'en avait entendu parler que dans des légendes aussi vieille que son propre royaume, et lorsque le nain parla du Balrog, le roi du Rohan ne comprit pas tout de suite de quel malheur il s'agissait. Cependant, l'histoire du nain l'attrista, et il admira le courage de ce-dernier, car parcourir une telle distance en si peu de temps et poursuivi par une telle horde était un exploit que seul l'énergie du désespoir pouvait accomplir. Lorsque le nain eut finit son récit, le roi lui dit :

" Je vois que vous avez durement souffert, vous et les votres. De plus, il est très rare que des gobelins venant du nord-est ose s'aventurer sur nos terres, c'est pourquoi vous n'avez pas vu mes cavaliers intervenir. Mais sachez ceci : ceux qui sont ennemis des gobelins sont nos amis. Je vous accorde l'hospitalité dans mon royaume. Reposez vous, car vous en aurez besoin pour votre vengeance. Je vais aussi faire partir deux compagnies de cavaliers vers le nord-est afin de voir s'il est possible de les intercepter. "

Alors qu'il finit de parler, le nain regarda vers l'extérieur, et porta sa main vers sa hache. Theoden fronça les sourcils, et se demanda ce qui passait par la tête du nain, alors que les soldats qui protégeaient le roi portèrent eux aussi la main à leur épée, prêt à fondre sur le nain si celui-ci tentait d'assassiner le roi. Mais soudain, une cloche retentit à l'extérieur.

C'était la cloche de la herse d'entrée, qui avertissait qu'un ennemi approchait. Un soldat arriva alors en courant dans la salle, et il s'écria :

" Un groupe de gobelins approchent ! Ils sont une centaines ! "

Le roi fronça les sourcils, et s'exclama :

" Ils sont fous d'oser s'approcher d'Edoras alors qu'ils sont si peu nombreux. Fermer les portes, et poster les archers sur les remparts pour les abattre. Préparez une eored pour les charger au cas où il resterait des survivants. "

Puis, Theoden porta son regard vers le nain et lui dit :

"Vous vouliez votre vengeance, la voici ! "

**Daïn** Dim 22 Fév - 22:49

Une large troupe avançait rapidement dans les plaines, et ce de manière relativement silencieuse, un exploit pour un aussi grand nombre. Effectivement, deux cent nains s'avançaient à travers le Rohan, suivant les traces d'une légion orque passée devant eux quelques heures plus tôt. Tous armés jusqu'aux dents, ils exprimaient pour la plupart des visages féroces et vengeurs. Les troupes de Daïn poursuivaient les gobelins depuis que cette bande était descendue du nord pas les montagnes grises, ravageant tout sur leur passage. Malheureusement, ils étaient arrivés trop tard pour sauver les nains de la Moria, mais d'heure en heure ils se rapprochaient des gobelins, qui avaient ralentis dans les plaines, où le soleil était un peu fort pour eux. Depuis quelques heures déjà, ils pouvaient entendre le vacarme que faisaient les gobelins, au loin devant eux. Leur roi était devant eux, serrant les dents et faisant preuve de la merveilleuse endurance de sa race, et ce malgré son âge. Bientôt, les plaines du Rohan seraient couvertes du sang des gobelins! Il se posait néanmoins une question: qu'est-ce qui poussait la vermine verte à s'aventurer si loin de leurs terres? Personne ne le savait. Personne ne s'en occupait, d'ailleurs, car cela les arrangeait.

Courage, mes frères! Nous allons leur faire payer tous les pillages qu'ils ont menés contre notre peuple, et venger ceux de la Moria! En avant, fils d'Erebor!

Le roi, prévoyant, leur avait permi de dormir trois heures plus tôt, car il savait que même ainsi ils pourraient rattraper les gobelins, et être en bons états pour la bataille. Ils n'étaient pas sûrs du nombre gobelin, mais cela ne ferait pas la différence. Aucune vermine verte ne pouvait égaliser un guerrier barbu au combat. Il restait confiant, même s'il avait dû laisser trois cent hommes aux alentours des mines au cas où les pilleurs reviendraient. Dans un cri de guerre, ils escaladèrent la coline qui les séparaient des gobelins, et n'en crurent pas leurs yeux.

Une bonne centaine de gobelins approchaient d'une immense cité qui ne pouvait être autre chose qu'Edoras. Ils ne s'étaient pas doutés qu'ils avaient parcourus une telle distance, et encore moins que les gobelins soient fous à se point. S'attaquer à la capitale du Rohan en un si petit nombre? Impensable. Mais peut-être avaient-ils un plan derrière la tête, et il ne fallait leur laisser aucun répit pour l'accomplir.

Chargez, nains d'Erebor! Ne laissez pas les rohirims s'amuser tous seuls!

Theoden du Rohan Lun 2 Mar - 13:04

Alors que les gobelins approchaient toujours plus des murs de la ville, un guetteur sur l'un des remparts aperçu, au loin, une nouvelle petite troupe qui se rapprochait plutôt rapidement. D'abord, le guetteur crut qu'il s'agissait d'une nouvelle unité de gobelins, mais au fur et à mesure que cette troupe approchait, il remarqua qu'il s'agissait en fait d'un détachement de nains. Ceux-ci commencèrent à charger en direction des gobelins.

Un soldat du rohan partit informer le roi Theoden des nouveaux évènements :

" Mon roi, une troupe d'une centaine de nain a été aperçu aux abord de la ville. Elle a commencée à charger les gobelins. Que faisons-nous ? "

Theoden parut surpris. Cependant, il fallait agir vite. Conscient du fait que les archers risquaient de toucher les nains qui étaient dans la mélée, il décida :

" Préparez mon cheval, nous allons faire une sortie avec mon éored. "

Puis, il se tourna vers le nain qui lui avait demandé de l'aide :

" J'espere que vous savez monter à cheval, car il est temps de rejoindre la bataille "

Ils se dirigèrent alors vers l'écurie, où on était en train de préparer leur chevaux...

**Daïn** Dim 8 Mar - 3:09

Menant la charge, le vieux roi guida ses troupes directement vers le front principal des gobelins, qui se retournèrent dans leur grande majorité. Quelques flèches partirent de leurs rangs pour atteindre les nains, qui levèrent leurs boucliers. Rares furent les touchés, mais quelques cris s'élevèrent des rangs de Daïn. Les nains ne couraient pas vite, et les gobelins eurent le temps de s'organiser avant que ne frappent les Khazads. Ceux-ci ne comptaient pas d'archers, mais tenaient tous des boucliers ronds et des haches, masses ou même quelques épées. Lorsqu'ils engagèrent le combat, ils défoncèrent litéralement les lignes gobelines. Bien que ceux-ci savaient se battre, les nains poussèrent en avant avec leur force brute. Puis, les peau-vertes se reprirent en main, et le corps-à-corps commença réellement.

Furieux, le roi abbatit sa hache sur un petit gobelin qui osa s'interposer, brisant sa lance de bois comme un cure dent. Dans la mêlée, Daïn semblait plus grand, plus fort et surtout plus féroce. Dans un cri de guerre, il attaqua son adversaire suivant, qui eu un mouvement de recul et ne para que de justesse le coup. Puis, le gobelin essaya d'enfoncer sa lame dans le ventre du nain, qui bouscula l'épée avec facilité, puis fit un grand moulinet de sa hache, qui décapita le gobelin. Le corps tomba, flasque, sur le sol. Observant le champs de bataille, il s'aperçut que les nains avaient cessé d'avancer. Bien qu'ils soient puissants, ils ne pouvaient pas faire face à tant de gobelin sur un si petit front. Ils avaient besoins de suport.

Tenez bon, mes frères! Faites-face à l'ennemi, et montrez à tous ces gobelins qu'ils n'ont pas fini de mordre la poussière face à nous! Nous sommes les nains d'Erebor! Nous avons faits face à leur peuple des centaines de fois au court de l'histoire, et des centaines de fois leur peuple fut défait devant nos armées!

Mais pendant qu'il disait cela, la bataille tournait mal, et bien que les coeurs des nains furent embalés, ils ne purent faire tourner la balance. Ils avaient besoins des rohirims.

**Hamos** Mar 10 Mar - 20:51

Hamos avait tout de suite sut avant même que la cloche ne sonne que les gobelins étaient aux porte de la citée, il avait senti leur immonde odeur. Et ces doutes furent confirmés par un soldat. Il savait que même réfugier dans la cités ils n’abandonneraient pas, il ne fallais aucun témoin du Balrog, quitte à massacré toute la population d’Edoras…
Mais quand il entendu leur nombre il fut surpris, ils savaient qu’il se dirigeait vers la cité Edoras, qu’elle plan machiavélique avaient t’ils encore imaginés. Il descendit dans l’écurie avec le Roi, et celui-ci lui proposa de prendre un cheval alors il répondit :

Je ne fais jamais ce que je pourrais faire par moi-même par le biais d’un autre être vivant, laisser moi de l’avance, vos monture me rattraperont bien assez vite.

Au moment où il allait sortir, un autre soldat accourut, celui-ci annonça la venue de nain, ils étaient deux cent, et cela ravis Hamos, qui senti une force nouvelle monter en lui, alors il se mit en chemin, un fois arrivé sous la herse il vit les gobelins et derrière les nains qui chargeaient, cette armée lui redonna espoir et il se mit à courir.

Hamos fut vite rattraper par les Rohirims, soudain il se senti soulevé du sol ces courtes jambe battaient l’air, quand il repris ces esprits il se rendit compte qu’un soldat l’avait soulever pour le faire assoire derrière lui, celui-ci vint ce placer à la hauteur de Roi, alors Hamos fit par de ces inquiétudes au Roi :

Seigneur, je redoute une fourberie de leur part, ils sont trop peu nombreux pour s’attaquer à cette citée, ils ne peuvent pas être seul, surtout avec mes frères d’arme derrière eux…

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