Curùnir Le Blanc.
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Curùnir Le Blanc.
Nom du Personnage de Rp : Saroumane.
Taille du Personnage de Rp : Environs 1 mètres 95.
Caractère du Personnage de Rp : Alors qu'il était autrefois destiné à devenir un être de bien, Saroumane s'est tourné vers les ténèbres et à acquis un naturel sournois et traitre. Il est d'une confiance sans borne, d'une suffisance qui va de pair avec elle et il est rare que l'idée que l'un de ses plans n'échouent ne fasse qu'effleurer sa pensée. Alors qu'il était autrefois bon et amical, aujourd'hui il n'est plus que mauvais, demandant le meilleur de ceux qui l'entoure, il n'hésite pas à réprimer sévèrement les échecs et il vaut souvent mieux mourir au combat que revenir en annonçant une défaite. Cela n'en fait pas moins un personnage extrêmement intelligent et rusé, il est sans doute l'une des personnes les plus brillantes d'Arda. De son maître Aulë, il hérita sa passion pour la métallurgie, l'alchimie mais aussi et surtout pour les anneaux de pouvoir. Il est sûrement celui à en savoir le plus sur ses derniers après Sauron lui-même. Malgré sa déchéance, le Magicien Blanc n'a pas perdu ce qui l'avait aux yeux de tous élu pour être le chef de l'ordre des Istaris, sa noblesse et sa voix. Ce magnifique alliage entre une présence que l'on ne peut que remarquer et une voix suave à l'intonation vibrante aura perverti le coeur de nombreux de ceux qui lui ont juré fidélité et son charisme à couper le souffle aura trompé et endormi les craintes de plus d'une personne pourtant sage et brillante.
Description Physique du Personnage : Une posture noble et un visage sage, c'est avant tout son allure qui a révélé sa nature aux elfes qui l'acceuillirent à son arrivée en Arda. Saroumane est peut-être le plus grand des Istaris, frôlant de peu les deux mètres, il a une chevelure longue et blanche, soignée et lissée. Il possède également une longue et bien ganie barbe blanche qu'il entretient également avec une application presque comique pour un homme aussi machiavélique que lui. Des sourcils brouissailleux d'un noir grisé sont les seuls signes de sa jeunesse d'antan. Ce n'est pourtant pas l'âge qui lui aura fait perdre sa vigueur et il est encore capable, bien qu'il ne se rabaisse jamais à de tel acte, de battre un jeune rohirrim sur un cent mètres, il n'est pas Istari pour rien après tout. Ses accessoires sont la robe de Magicien Blanc et son bâton en fer noir orné d'un cristal blanc.
Description Moral du Personnage : Pour Saroumane le bien se limite à ce qui peut aider ses ambitions. Le mal c'est tout ce qui est contre lui, en sachant que ce qui est contre lui est par définition ceux qui ne sont pas avec lui on peut s'apercevoir que Saroumane n'a pas beaucoup d'ami ni de bon copain. Il est avide de pouvoir et de savoir et n'hésite pas à trahir, tuer, blesser, menacer et faire chanter hommes, femmes, enfants ou vieillards pour arriver à ses fins.
Histoire du Personnage :
Ma vie à Valinor fut plutôt calme et tranquille. Mon maître, Aulë me prit rapidement sous son aile et je suivis son instruction de la façon la plus studieuse et appliquée qu'il était possible à un Istar de le faire. C'est donc pendant deux âges entiers que j'étudiais en même temps que je me forgeais et devenais l'être qui devint le Magicien Blanc. Bien sûr ma passion pour la métallurgie et les pierres, qu'elles soient précieuses ou non, me vint de mon maître. C'est lui qui avait créé Arda, ou du moins ses montagnes et son relief ainsi que ses minerais et certains de ses habitants. Il en savait donc beaucoup sur elle et c'est grâce à lui que j'apprenais une grande partie de ce que je sais maintenant sur les métaux, la pierre et les différentes matières ainsi que les effets qu'elles peuvent entrainer une fois correctement mélangées. Pourtant je découvrais bien plus tard qu'une grande partie de l'enseignement de mon ancien mentor n'avait été que mensonges et illusions qui lui avaient caché la vérité à moi tout autant qu'à lui-même.
Quand je posais mon premier pied en Arda, tous me reconnurent comme étant le plus puissants des Istaris qui leur serait donné de voir. Les elfes m'acceuillirent comme il se dut et je les en remerciais, encore bercé par les douces illusions d'Aulë. Je ne découvrais que bien plus tard leur traîtrise et leur malveillance ainsi que le complot qu'il avait fomenté à mon égard. C'était donc en paix que je voyais venir mes frères sur les quais des Havres Gris, saluant chaqu'un d'eux avec des sourires bienveillants et un sentiment stupide d'affection à leur égard. Je restais quelques temps en leur compagnie chez les elfes avant que nous nous aiguillâmes à travers la terre. Je parcourais le monde en tout sens durant plus d'un millénaire, apprenant toujours plus sur ses habitants et comprenant petit à petit la vérité. Je fus nommé légitimement Chef du Conseil Blanc peu de temps après mon arrivée sur Arda et c'est de là que je commençais à mettre en place mes plans et à tendre mes pièges. Mes conaissances s'étaient accrues, les Anneaux de Pouvoir m'étant aussi familier qu'ils l'étaient pour Sauron lui-même. J'avais appris la traîtrise de ces stupides elfes lors d'une rencontre avec Gandalf qui n'avait pu me cacher qu'il avait en sa possession l'un de leurs anneaux. Cette nouvelle m'avait mit dans une colère noire. Ce petit magicien de pacotille m'avait volé mon bien en complotant avec ces petits minables aux oreilles aussi pointues que leurs langues étaient empruntes de vilainies. Cependant je ne montrais rien de mes états d'âmes, mes yeux s'étant ouverts sur la réelle destinée qui s'était offerte à moi. J'avais, lors d'un de mes voyages, localisé le lieu où Isildur, l'ancien Roi du Gondor, était tombé l'Anneau Unique avec lui. Je me devais de le retrouver pour enfin réclamer la place qui m'était dû en Arda, celle de chef unique et craint, celle de maître du sort de chaqu'un et celle du plus grand Roi de tous les temps, la vraie destinée du Magicien Blanc. Mais cela n'allait pas être aussi simple, il me fallait tous les duper, tous autant qu'ils étaient mes frères, les elfes, les hommes et tous ces traîtres qui n'auront plus que la force de me supplier de les épargner quand je serais enfin arrivé à mes fins. Une nouvelle réunion du Conseil Blanc me mena auprès d'Elrond, Galadriel, Gandalf et d'autre grands sages de l'époque. Mon frère fou se commença alors ses tentatives pour entraver mon accession à mon trône. La cause de notre réunion était alors un menace naissante provenant de Dol Guldur. J'étais depuis longtemps au courant de ce qui était à l'origine de cette menace, le Nécromancien, l'un des nombreux noms donnés à Sauron. Olorin n'était pas bête et avait lui aussi découvert, par je ne sais quel moyen, la présence de Sauron en ses lieux, il voulait que l'on attaque la citadelle maudite et que l'on réduise à néant le Seigneur des Ténèbres avant que ce dernier ne retrouve son Unique. Il n'avait alors rien compris... Il était nécessaire que Sauron réapparaisse, ainsi il me serait tellement plus aisé de retrouver mon dû car ce dernier ferait tout pour rejoindre son Ancien Maître, ne sachant sûrement pas lui-même que je me devais d'être le prochain. J'endormais les craintes des autres membres du Conseil Blanc et cette attaque n'eut jamais lieu et je pus ainsi reprendre mes enquêtes tranquillement.
Lors de la 2798ème année du Troisième Âge, le Roi de La Marche Fréalaf me remit la clé de ma Tour, Orthanc, et ainsi de ma forteresse, Isengard. A partir de ce moment j'arrêtais mes voyages, restant dans mon domaine à étudier les Ents, étranges êtres qui étaient mes voisins et peut-être des alliés potentiels, mais aussi l'alchimie, la métallurgie et je continuais mes recherches sur l'Anneau Unique. De mes quatre frères, seuls deux étaient encore vivant à ma conaissance. Gandalf le Gris se faisait tour à tour chasseur de dragon et faiseur de paix, tuant indirectement le redouté Smaug et faisant naître la Paix Vigilante. Il se fit également protecteur des Semi-Hommes de la Comté, je devinais que son attention n'était pas fixé par cette étrange race qu'était les hobbits pour rien et j'envoyais donc des espions dans cette région, j'étais donc au courant de ses moindres faits et gestes ainsi que de ceux qui se passait là où il manigançait. Radagast quant à lui s'était détourné depuis longtemps des hommes et de toutes les races humanoïdes et intelligentes de l'Arda pour se tourner vers une étude et une vie tranquille auprès de ses amis les animaux... Il ne serait qu'un pion sur mon échéquier. C'est quelques années plus tard que je décidais de trouver un nouvel allié, quand enfin je jugeais ma puissance digne de rivaliser avec celle de celui qui serait mon futur pion lui aussi. Le Palentir, ce fut lui qui me permit de prendre contact avec le Mordor et Sauron. Quand enfin j'osais y plonger mon regard je m'y fis surprendre par le Seigneur de la Montagne du Destin. Je ne m'attendais pas à ce qu'il soit encore aussi puissant mais son avantage il naquit surtout du fait qu'il me prit par surprise, je fus donc obligé à mon grand damne de devenir son vassal pour un temps, et ce temps perdure encore aujourd'hui alors que je suis sur le point de devenir le premier unique Roi Istar de la Terre du Milieux. Tandis que l'obscurité s'étant à l'Est et que mon éphémère suzerain regagne sa puissance et reconstitue son immense armée, je fais de même en secret, dans les grottes profondes de l'Isengard naquissent chaque jour de nouveaux membres de l'armée bâtarde qui sera mienne. Mes connaissances m'ont permis de créer les Uruk'hai, croisement entre les hommes et les orques, ils sont les guerriers parfaits qui me permettront de renverser Hommes et Elfes et de les mettre à genoux devant moi tandis que je posséderais l'Unique passé à mon doigt.
Autre : Saroumane malgré sa toute puissance à un faible pour le chocolat.
Taille du Personnage de Rp : Environs 1 mètres 95.
Caractère du Personnage de Rp : Alors qu'il était autrefois destiné à devenir un être de bien, Saroumane s'est tourné vers les ténèbres et à acquis un naturel sournois et traitre. Il est d'une confiance sans borne, d'une suffisance qui va de pair avec elle et il est rare que l'idée que l'un de ses plans n'échouent ne fasse qu'effleurer sa pensée. Alors qu'il était autrefois bon et amical, aujourd'hui il n'est plus que mauvais, demandant le meilleur de ceux qui l'entoure, il n'hésite pas à réprimer sévèrement les échecs et il vaut souvent mieux mourir au combat que revenir en annonçant une défaite. Cela n'en fait pas moins un personnage extrêmement intelligent et rusé, il est sans doute l'une des personnes les plus brillantes d'Arda. De son maître Aulë, il hérita sa passion pour la métallurgie, l'alchimie mais aussi et surtout pour les anneaux de pouvoir. Il est sûrement celui à en savoir le plus sur ses derniers après Sauron lui-même. Malgré sa déchéance, le Magicien Blanc n'a pas perdu ce qui l'avait aux yeux de tous élu pour être le chef de l'ordre des Istaris, sa noblesse et sa voix. Ce magnifique alliage entre une présence que l'on ne peut que remarquer et une voix suave à l'intonation vibrante aura perverti le coeur de nombreux de ceux qui lui ont juré fidélité et son charisme à couper le souffle aura trompé et endormi les craintes de plus d'une personne pourtant sage et brillante.
Description Physique du Personnage : Une posture noble et un visage sage, c'est avant tout son allure qui a révélé sa nature aux elfes qui l'acceuillirent à son arrivée en Arda. Saroumane est peut-être le plus grand des Istaris, frôlant de peu les deux mètres, il a une chevelure longue et blanche, soignée et lissée. Il possède également une longue et bien ganie barbe blanche qu'il entretient également avec une application presque comique pour un homme aussi machiavélique que lui. Des sourcils brouissailleux d'un noir grisé sont les seuls signes de sa jeunesse d'antan. Ce n'est pourtant pas l'âge qui lui aura fait perdre sa vigueur et il est encore capable, bien qu'il ne se rabaisse jamais à de tel acte, de battre un jeune rohirrim sur un cent mètres, il n'est pas Istari pour rien après tout. Ses accessoires sont la robe de Magicien Blanc et son bâton en fer noir orné d'un cristal blanc.
Description Moral du Personnage : Pour Saroumane le bien se limite à ce qui peut aider ses ambitions. Le mal c'est tout ce qui est contre lui, en sachant que ce qui est contre lui est par définition ceux qui ne sont pas avec lui on peut s'apercevoir que Saroumane n'a pas beaucoup d'ami ni de bon copain. Il est avide de pouvoir et de savoir et n'hésite pas à trahir, tuer, blesser, menacer et faire chanter hommes, femmes, enfants ou vieillards pour arriver à ses fins.
Histoire du Personnage :
Ma vie à Valinor fut plutôt calme et tranquille. Mon maître, Aulë me prit rapidement sous son aile et je suivis son instruction de la façon la plus studieuse et appliquée qu'il était possible à un Istar de le faire. C'est donc pendant deux âges entiers que j'étudiais en même temps que je me forgeais et devenais l'être qui devint le Magicien Blanc. Bien sûr ma passion pour la métallurgie et les pierres, qu'elles soient précieuses ou non, me vint de mon maître. C'est lui qui avait créé Arda, ou du moins ses montagnes et son relief ainsi que ses minerais et certains de ses habitants. Il en savait donc beaucoup sur elle et c'est grâce à lui que j'apprenais une grande partie de ce que je sais maintenant sur les métaux, la pierre et les différentes matières ainsi que les effets qu'elles peuvent entrainer une fois correctement mélangées. Pourtant je découvrais bien plus tard qu'une grande partie de l'enseignement de mon ancien mentor n'avait été que mensonges et illusions qui lui avaient caché la vérité à moi tout autant qu'à lui-même.
Quand je posais mon premier pied en Arda, tous me reconnurent comme étant le plus puissants des Istaris qui leur serait donné de voir. Les elfes m'acceuillirent comme il se dut et je les en remerciais, encore bercé par les douces illusions d'Aulë. Je ne découvrais que bien plus tard leur traîtrise et leur malveillance ainsi que le complot qu'il avait fomenté à mon égard. C'était donc en paix que je voyais venir mes frères sur les quais des Havres Gris, saluant chaqu'un d'eux avec des sourires bienveillants et un sentiment stupide d'affection à leur égard. Je restais quelques temps en leur compagnie chez les elfes avant que nous nous aiguillâmes à travers la terre. Je parcourais le monde en tout sens durant plus d'un millénaire, apprenant toujours plus sur ses habitants et comprenant petit à petit la vérité. Je fus nommé légitimement Chef du Conseil Blanc peu de temps après mon arrivée sur Arda et c'est de là que je commençais à mettre en place mes plans et à tendre mes pièges. Mes conaissances s'étaient accrues, les Anneaux de Pouvoir m'étant aussi familier qu'ils l'étaient pour Sauron lui-même. J'avais appris la traîtrise de ces stupides elfes lors d'une rencontre avec Gandalf qui n'avait pu me cacher qu'il avait en sa possession l'un de leurs anneaux. Cette nouvelle m'avait mit dans une colère noire. Ce petit magicien de pacotille m'avait volé mon bien en complotant avec ces petits minables aux oreilles aussi pointues que leurs langues étaient empruntes de vilainies. Cependant je ne montrais rien de mes états d'âmes, mes yeux s'étant ouverts sur la réelle destinée qui s'était offerte à moi. J'avais, lors d'un de mes voyages, localisé le lieu où Isildur, l'ancien Roi du Gondor, était tombé l'Anneau Unique avec lui. Je me devais de le retrouver pour enfin réclamer la place qui m'était dû en Arda, celle de chef unique et craint, celle de maître du sort de chaqu'un et celle du plus grand Roi de tous les temps, la vraie destinée du Magicien Blanc. Mais cela n'allait pas être aussi simple, il me fallait tous les duper, tous autant qu'ils étaient mes frères, les elfes, les hommes et tous ces traîtres qui n'auront plus que la force de me supplier de les épargner quand je serais enfin arrivé à mes fins. Une nouvelle réunion du Conseil Blanc me mena auprès d'Elrond, Galadriel, Gandalf et d'autre grands sages de l'époque. Mon frère fou se commença alors ses tentatives pour entraver mon accession à mon trône. La cause de notre réunion était alors un menace naissante provenant de Dol Guldur. J'étais depuis longtemps au courant de ce qui était à l'origine de cette menace, le Nécromancien, l'un des nombreux noms donnés à Sauron. Olorin n'était pas bête et avait lui aussi découvert, par je ne sais quel moyen, la présence de Sauron en ses lieux, il voulait que l'on attaque la citadelle maudite et que l'on réduise à néant le Seigneur des Ténèbres avant que ce dernier ne retrouve son Unique. Il n'avait alors rien compris... Il était nécessaire que Sauron réapparaisse, ainsi il me serait tellement plus aisé de retrouver mon dû car ce dernier ferait tout pour rejoindre son Ancien Maître, ne sachant sûrement pas lui-même que je me devais d'être le prochain. J'endormais les craintes des autres membres du Conseil Blanc et cette attaque n'eut jamais lieu et je pus ainsi reprendre mes enquêtes tranquillement.
Lors de la 2798ème année du Troisième Âge, le Roi de La Marche Fréalaf me remit la clé de ma Tour, Orthanc, et ainsi de ma forteresse, Isengard. A partir de ce moment j'arrêtais mes voyages, restant dans mon domaine à étudier les Ents, étranges êtres qui étaient mes voisins et peut-être des alliés potentiels, mais aussi l'alchimie, la métallurgie et je continuais mes recherches sur l'Anneau Unique. De mes quatre frères, seuls deux étaient encore vivant à ma conaissance. Gandalf le Gris se faisait tour à tour chasseur de dragon et faiseur de paix, tuant indirectement le redouté Smaug et faisant naître la Paix Vigilante. Il se fit également protecteur des Semi-Hommes de la Comté, je devinais que son attention n'était pas fixé par cette étrange race qu'était les hobbits pour rien et j'envoyais donc des espions dans cette région, j'étais donc au courant de ses moindres faits et gestes ainsi que de ceux qui se passait là où il manigançait. Radagast quant à lui s'était détourné depuis longtemps des hommes et de toutes les races humanoïdes et intelligentes de l'Arda pour se tourner vers une étude et une vie tranquille auprès de ses amis les animaux... Il ne serait qu'un pion sur mon échéquier. C'est quelques années plus tard que je décidais de trouver un nouvel allié, quand enfin je jugeais ma puissance digne de rivaliser avec celle de celui qui serait mon futur pion lui aussi. Le Palentir, ce fut lui qui me permit de prendre contact avec le Mordor et Sauron. Quand enfin j'osais y plonger mon regard je m'y fis surprendre par le Seigneur de la Montagne du Destin. Je ne m'attendais pas à ce qu'il soit encore aussi puissant mais son avantage il naquit surtout du fait qu'il me prit par surprise, je fus donc obligé à mon grand damne de devenir son vassal pour un temps, et ce temps perdure encore aujourd'hui alors que je suis sur le point de devenir le premier unique Roi Istar de la Terre du Milieux. Tandis que l'obscurité s'étant à l'Est et que mon éphémère suzerain regagne sa puissance et reconstitue son immense armée, je fais de même en secret, dans les grottes profondes de l'Isengard naquissent chaque jour de nouveaux membres de l'armée bâtarde qui sera mienne. Mes connaissances m'ont permis de créer les Uruk'hai, croisement entre les hommes et les orques, ils sont les guerriers parfaits qui me permettront de renverser Hommes et Elfes et de les mettre à genoux devant moi tandis que je posséderais l'Unique passé à mon doigt.
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Saroumane- Actif
- Nombre de messages : 348
Age : 32
Votre côté (mal ou bien) : Bien
Date d'inscription : 24/03/2007
Fiche
Fortune:
(0/0)
Grade:
Armées:
Re: Curùnir Le Blanc.
Excellente fiche validée bien sur^^
Lissien Isilra- Administrateur
- Nombre de messages : 1794
Age : 60
Votre côté (mal ou bien) : bien
Date d'inscription : 20/10/2006
Fiche
Fortune:
(500/1000)
Grade:
Armées:
Re: Curùnir Le Blanc.
Merci ^^ C'est celle que j'avais déjà poster lors de ma validation première =)
Saroumane- Actif
- Nombre de messages : 348
Age : 32
Votre côté (mal ou bien) : Bien
Date d'inscription : 24/03/2007
Fiche
Fortune:
(0/0)
Grade:
Armées:
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