Gandalf le pélerin gris
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Gandalf le pélerin gris
Nom du Personnage de RP : Gandalf
Taille Du personnage de RP : 1m80
Caractère du Personnage de RP : Gandalf est sans doute à la fois tout ce que l’on imagine être un magicien et son contraire aussi. Sérère et impitoyable devant la vérité il est aussi enjoué et prompt à gouter les plaisirs simples de la vie. Il est donc capable de grande colère et de grand éclats de rire. Gandalf est l’incarnation de bien des qualités qui font les personnages légendaires. Personne à la puissance grandissante il ne s’en sert que dans les cas d’extrème urgence. Conscient de ses pouvoirs, il n’en tire pas pour autant orgueil et les met au service des plus démunis. Les petites gens ont autant d’importance à ses yeux que les grands de ce monde c’est pourquoi il est le seul à s’intéresser aux semi-hommes. Un de ses maitre mot est la confiance en l’autre alors que les peuples sont divisés et méfiants les uns envers les autres. Il voit bien plus loin que les Elfes qui déjà trahis deux fis par les hommes quittent les rivages de l’Est n’accordant plus de crédit aux derniers nés…
Il a le mensonge en aversion et son langage est toujours franc, même s’il sait à l’occasion être diplomate. Beorn se souvient encore de la visite d’une bande de Nain et d’un petit personnage…
La compassion est aussi une marque de Mithrandir. Loin de la pitié, il est capable de porter en leur compagnie les fardeaux qui pèsent sur les épaules de ses compagnons.
Mais il est aussi l’incarnation de l’espoir et de la ténacité. Il est bien sur capable de douter mais n’arrêtera jamais son action avant le terme de l’histoire .
Description Physique du Personnage : Vieillard chenu appuyé sur un bâton et tout de gris vêtu il cache habilement une vigueur étonnante qui lui vient de sa véritable nature de Maia. Il possède des soucils broussailleux au dessus d’un regard perçant gris acier. Sa bouche mince se perd dans sa barbe grise qu’il porte longue comme si jamais son visage n’avait connu autre chose. Son costume est simplement composé d’une robe de magicien et d’un grand manteau de voyage, le tout, rehaussé d’un grand chapeau de feutre pointu.
A son côté, pend Glamdring épée magique qu’il manie avec la dextérité d’un guerrier d’élite, mais son instrument de prédilection est bien sûr son bâton dans lequel est serti Narya anneau de feu…
Histoire du Personnage
Il tira sur sa longue pipe au conduit effilé et laissa échapper de douces volutes de fumée bleue. Son regard se voila alors que son esprit s’envolait vers le début de toute chose.
Il y a de cela plus de 3000 vies d’hommes, les douceurs de Valinor étaient son quotidien. Sur Arda parmi les Bénis, au service de Manwë et Varda. Mais Arda est peuplée des merveilles dont l’ont comblée les Valar et toutes les formes de vie exercent sur lui la fascination et un certain émerveillement . Les Eldar en particulier avaient une place particulière dans son cœur. Il semblait que les désirs d’Eru n’aurait pas pu être mieux exhaucés que par ces nobles créatures éprises de savoir et d’harmonie.
Et puis il eut Melkor. Et il y eut la guerre. Une grande guerre et avec elle le monde se couvrit de souffrance et de bravoure, de lâcheté et d’exploits, de joug à secouer et de délivrance. A chaque fois, il était là redonnant confiance, toujours du côté du plus faible et du démuni. Voile de courage et de compassion hérité de sa fréquentation de Nienna, il s’emplissait des petites victoires aussi bien que des grandes et faisait sien des échecs pour toujours retourner là où une âme désespérée avait besoin de réconfort. Messager invisible, sa présence jamais remarquée, mais toujours ressentie redonnait courage au vaincu.
Parfois un Elfe tournait son regard vers une source invisible de réconfort, mais parfois aussi , un Elfe étranger dispensait de paroles de sagesse et d’encouragement .
Les dragons dévastèrent la terre, les Balrog allumèrent des brasiers et toujours le désespoir était combattu.
Il cligna des paupières. Les images sombre des valets de Morgoth passèrent comme un cauchemar et le gris de ses yeux sembla se tinter d’une lueur bleutée. Les cotes blanche s de Valinor s’était éloignées des terres des hommes et il regrettait ses pas parmi les Elfes puis les Hommes et les Nains.
Et la peur noire qui devait disparaître avec Melkhor persistait de l’autre côté à l’Est. Les rumeur en était continues et son coeur s’emplissait de crainte pour tous les enfants d’Illuvatar. Il avait vu des joyaux périr et de grandes âmes s’éteindre et bien des chose fabuleuses ne reviendraient pas… Ce cycle de destruction allait-il se poursuivre ?
Il haussa ses sourcils derrière la fumée qui rougeoyait au dessus de l’herbe incandescente. Des paroles résonnaient en lui. Ces paroles qui l’avaient envoyé sur ces rivages.
« Tu seras un Homme et tu combattras le noir valet de Morgoth. Celui qui se nommait Anatar. Avec les autres Istari , tu animeras la lutte à laquelle nous ne prendrons pas part. Curunir sera votre mentor. »
De vieilles silhouettes avaient alors débarqué dans les havres et s’étaient dispersées se revoyant de loin en loin. Jamais il n’avait oublié sa mission. Gandalf chez le hommes, Mithrandir chez les Elfes et Tarkhun chez les Nains. Ses ennemis le nommaient Incanus.
Partout il pouvait encore s’émerveiller des beauté de ces terres sans oublier sa tâche, toujours proches des petites gens comme par le passé c’est ainsi qu’il fit la rencontre des Semi-Hommes.
Il tourna la tête l’œil pétillant en direction de son ami assis à ses côtés fumant lui aussi la bonne herbe de Longoulet. Ils étaient silencieux maintenant depuis de longue minutes mais l’amitié n’a pas besoin de mot. Quelle étrange amitié que celle d’un puisant magicien et d’un Hobbit pantouflard. Mais elle était de celles qui n’ont pas besoin de se justifier tant elle est improbable.
« Et bien mon ami, si mes jours finissaient ici, je pourrais dire que j’ai bien vécu ne serait-ce que parce que je vous ai rencontré..
__ Hum… Quand un Hobbit parle au conditionnel de la sorte c’est qu’il a perdu tout son sens. Mais lorsque c’est vous parlez de la sorte, j’ai dans l’idée que vous ne souhaitez pas finir vos jours à Culs de sac.
__ Mon cher Gandalf, je vous déteste…. »
Le sourire qu’il avait aux lèvre disait le contraire.
« Ne pouvez-vous laisser les petites gens avoir quelques secrets ?
__ Oh ! Navré… Et Où comptez vous mener vos pas ?
__ Ne comptez pas que je vous le dise. Pour que vous y fourriez votre nez de magicien maniganceur…
__ Décidément vous ne m’avez pas pardonné le thé d’il y a cinquante ans…
__ Le thé ? S’il ne s’agissait que d’un thé ! Mais tout mon garde manger y est passé et si ce n’était que cela. Oubliez vous que j’ai failli servir de plat de résistance à tout ce qui se fait de créature odieuse ici bas ?
__ Mais regardez-vous… Vous vous portez comme un charme…
__ Ce n’est pas grâce à vous… »
Il auraient bien continué cette chamaillerie rituelle, mais à chaque fois le fou rire les prenait et cette fois ne fit pas exception…
« Et vous Gandalf ? »
La voix du Hobbit avait repris une certaine gravité.
« Je sais que vous ne resterez pas bien longtemps…
__ A vrai dire le temps de finir ma pipe et je comptais vous faire mes adieux
__ Je vois… Nous reverrons nous ?
__ En doutez-vous ? »
Seul un sourire lui répondit. Sourire qu’il garda jusqu’à Fondcombe puis en Lorien où l’attendait son amie Galadriel, dame si différente de Bilbon Sacquet ! La forêt dorée en dehors du temps et de la destruction avait guidé ses pas comme dans un rêve de douceur. Le royaume de la Dame Blanche resterait loin des tourments tant qu’elle serait là pour le protéger. Les malornes comme des gardiens de la paix, des colonnes d’un sanctuaire trop parfait pour être réels laissaient par endroit choir leur feuilles argentés sur les pas du voyageur.
« Soyez le bienvenu pèlerin gris
__ Je vous salue Dame de Lothlorien
__ Je sais que les raisons qui vous amène ici ne sont pas que l’amitié. »
Comme Cirdan en son temps qui lui avait confié l’anneau de feu, Galadriel savait le labeur du pèlerin gris…
- Ces terres sauront elles un jour ce qu’elles vous doivent ?-
« Hélas le mal grandit trop vite à l’Ouest, et les forces qui lui résistent s’amenuisent
__ Je sais tout cela. Mes frères nous quittent partant vers l’Ouest
__ Mais les hommes ne pourront pas partir et seront seuls bientôt. Et…
__ Les neufs ont été vus. Cela ne peut vouloir dire qu’une chose.
__ Il est en quête… »
Il baissa la tête. Comment contrer une machine qui semblait en marche pour ne plus devoir s’arrêter ?
« Votre tâche est vouée au succès pour le bien d’Arda. Vous n’avez pas le choix…
__ Je sais tout cela : seul trouver l’unique avant lui et le détruire peut sauver les peuples libres… »
Durant tout son périple cette pensée l’avait obsédé mais c’était comme chercher un grain de sable dans la barbe d’un Nain…
Taille Du personnage de RP : 1m80
Caractère du Personnage de RP : Gandalf est sans doute à la fois tout ce que l’on imagine être un magicien et son contraire aussi. Sérère et impitoyable devant la vérité il est aussi enjoué et prompt à gouter les plaisirs simples de la vie. Il est donc capable de grande colère et de grand éclats de rire. Gandalf est l’incarnation de bien des qualités qui font les personnages légendaires. Personne à la puissance grandissante il ne s’en sert que dans les cas d’extrème urgence. Conscient de ses pouvoirs, il n’en tire pas pour autant orgueil et les met au service des plus démunis. Les petites gens ont autant d’importance à ses yeux que les grands de ce monde c’est pourquoi il est le seul à s’intéresser aux semi-hommes. Un de ses maitre mot est la confiance en l’autre alors que les peuples sont divisés et méfiants les uns envers les autres. Il voit bien plus loin que les Elfes qui déjà trahis deux fis par les hommes quittent les rivages de l’Est n’accordant plus de crédit aux derniers nés…
Il a le mensonge en aversion et son langage est toujours franc, même s’il sait à l’occasion être diplomate. Beorn se souvient encore de la visite d’une bande de Nain et d’un petit personnage…
La compassion est aussi une marque de Mithrandir. Loin de la pitié, il est capable de porter en leur compagnie les fardeaux qui pèsent sur les épaules de ses compagnons.
Mais il est aussi l’incarnation de l’espoir et de la ténacité. Il est bien sur capable de douter mais n’arrêtera jamais son action avant le terme de l’histoire .
Description Physique du Personnage : Vieillard chenu appuyé sur un bâton et tout de gris vêtu il cache habilement une vigueur étonnante qui lui vient de sa véritable nature de Maia. Il possède des soucils broussailleux au dessus d’un regard perçant gris acier. Sa bouche mince se perd dans sa barbe grise qu’il porte longue comme si jamais son visage n’avait connu autre chose. Son costume est simplement composé d’une robe de magicien et d’un grand manteau de voyage, le tout, rehaussé d’un grand chapeau de feutre pointu.
A son côté, pend Glamdring épée magique qu’il manie avec la dextérité d’un guerrier d’élite, mais son instrument de prédilection est bien sûr son bâton dans lequel est serti Narya anneau de feu…
Histoire du Personnage
Il tira sur sa longue pipe au conduit effilé et laissa échapper de douces volutes de fumée bleue. Son regard se voila alors que son esprit s’envolait vers le début de toute chose.
Il y a de cela plus de 3000 vies d’hommes, les douceurs de Valinor étaient son quotidien. Sur Arda parmi les Bénis, au service de Manwë et Varda. Mais Arda est peuplée des merveilles dont l’ont comblée les Valar et toutes les formes de vie exercent sur lui la fascination et un certain émerveillement . Les Eldar en particulier avaient une place particulière dans son cœur. Il semblait que les désirs d’Eru n’aurait pas pu être mieux exhaucés que par ces nobles créatures éprises de savoir et d’harmonie.
Et puis il eut Melkor. Et il y eut la guerre. Une grande guerre et avec elle le monde se couvrit de souffrance et de bravoure, de lâcheté et d’exploits, de joug à secouer et de délivrance. A chaque fois, il était là redonnant confiance, toujours du côté du plus faible et du démuni. Voile de courage et de compassion hérité de sa fréquentation de Nienna, il s’emplissait des petites victoires aussi bien que des grandes et faisait sien des échecs pour toujours retourner là où une âme désespérée avait besoin de réconfort. Messager invisible, sa présence jamais remarquée, mais toujours ressentie redonnait courage au vaincu.
Parfois un Elfe tournait son regard vers une source invisible de réconfort, mais parfois aussi , un Elfe étranger dispensait de paroles de sagesse et d’encouragement .
Les dragons dévastèrent la terre, les Balrog allumèrent des brasiers et toujours le désespoir était combattu.
Il cligna des paupières. Les images sombre des valets de Morgoth passèrent comme un cauchemar et le gris de ses yeux sembla se tinter d’une lueur bleutée. Les cotes blanche s de Valinor s’était éloignées des terres des hommes et il regrettait ses pas parmi les Elfes puis les Hommes et les Nains.
Et la peur noire qui devait disparaître avec Melkhor persistait de l’autre côté à l’Est. Les rumeur en était continues et son coeur s’emplissait de crainte pour tous les enfants d’Illuvatar. Il avait vu des joyaux périr et de grandes âmes s’éteindre et bien des chose fabuleuses ne reviendraient pas… Ce cycle de destruction allait-il se poursuivre ?
Il haussa ses sourcils derrière la fumée qui rougeoyait au dessus de l’herbe incandescente. Des paroles résonnaient en lui. Ces paroles qui l’avaient envoyé sur ces rivages.
« Tu seras un Homme et tu combattras le noir valet de Morgoth. Celui qui se nommait Anatar. Avec les autres Istari , tu animeras la lutte à laquelle nous ne prendrons pas part. Curunir sera votre mentor. »
De vieilles silhouettes avaient alors débarqué dans les havres et s’étaient dispersées se revoyant de loin en loin. Jamais il n’avait oublié sa mission. Gandalf chez le hommes, Mithrandir chez les Elfes et Tarkhun chez les Nains. Ses ennemis le nommaient Incanus.
Partout il pouvait encore s’émerveiller des beauté de ces terres sans oublier sa tâche, toujours proches des petites gens comme par le passé c’est ainsi qu’il fit la rencontre des Semi-Hommes.
Il tourna la tête l’œil pétillant en direction de son ami assis à ses côtés fumant lui aussi la bonne herbe de Longoulet. Ils étaient silencieux maintenant depuis de longue minutes mais l’amitié n’a pas besoin de mot. Quelle étrange amitié que celle d’un puisant magicien et d’un Hobbit pantouflard. Mais elle était de celles qui n’ont pas besoin de se justifier tant elle est improbable.
« Et bien mon ami, si mes jours finissaient ici, je pourrais dire que j’ai bien vécu ne serait-ce que parce que je vous ai rencontré..
__ Hum… Quand un Hobbit parle au conditionnel de la sorte c’est qu’il a perdu tout son sens. Mais lorsque c’est vous parlez de la sorte, j’ai dans l’idée que vous ne souhaitez pas finir vos jours à Culs de sac.
__ Mon cher Gandalf, je vous déteste…. »
Le sourire qu’il avait aux lèvre disait le contraire.
« Ne pouvez-vous laisser les petites gens avoir quelques secrets ?
__ Oh ! Navré… Et Où comptez vous mener vos pas ?
__ Ne comptez pas que je vous le dise. Pour que vous y fourriez votre nez de magicien maniganceur…
__ Décidément vous ne m’avez pas pardonné le thé d’il y a cinquante ans…
__ Le thé ? S’il ne s’agissait que d’un thé ! Mais tout mon garde manger y est passé et si ce n’était que cela. Oubliez vous que j’ai failli servir de plat de résistance à tout ce qui se fait de créature odieuse ici bas ?
__ Mais regardez-vous… Vous vous portez comme un charme…
__ Ce n’est pas grâce à vous… »
Il auraient bien continué cette chamaillerie rituelle, mais à chaque fois le fou rire les prenait et cette fois ne fit pas exception…
« Et vous Gandalf ? »
La voix du Hobbit avait repris une certaine gravité.
« Je sais que vous ne resterez pas bien longtemps…
__ A vrai dire le temps de finir ma pipe et je comptais vous faire mes adieux
__ Je vois… Nous reverrons nous ?
__ En doutez-vous ? »
Seul un sourire lui répondit. Sourire qu’il garda jusqu’à Fondcombe puis en Lorien où l’attendait son amie Galadriel, dame si différente de Bilbon Sacquet ! La forêt dorée en dehors du temps et de la destruction avait guidé ses pas comme dans un rêve de douceur. Le royaume de la Dame Blanche resterait loin des tourments tant qu’elle serait là pour le protéger. Les malornes comme des gardiens de la paix, des colonnes d’un sanctuaire trop parfait pour être réels laissaient par endroit choir leur feuilles argentés sur les pas du voyageur.
« Soyez le bienvenu pèlerin gris
__ Je vous salue Dame de Lothlorien
__ Je sais que les raisons qui vous amène ici ne sont pas que l’amitié. »
Comme Cirdan en son temps qui lui avait confié l’anneau de feu, Galadriel savait le labeur du pèlerin gris…
- Ces terres sauront elles un jour ce qu’elles vous doivent ?-
« Hélas le mal grandit trop vite à l’Ouest, et les forces qui lui résistent s’amenuisent
__ Je sais tout cela. Mes frères nous quittent partant vers l’Ouest
__ Mais les hommes ne pourront pas partir et seront seuls bientôt. Et…
__ Les neufs ont été vus. Cela ne peut vouloir dire qu’une chose.
__ Il est en quête… »
Il baissa la tête. Comment contrer une machine qui semblait en marche pour ne plus devoir s’arrêter ?
« Votre tâche est vouée au succès pour le bien d’Arda. Vous n’avez pas le choix…
__ Je sais tout cela : seul trouver l’unique avant lui et le détruire peut sauver les peuples libres… »
Durant tout son périple cette pensée l’avait obsédé mais c’était comme chercher un grain de sable dans la barbe d’un Nain…
Gandalf- Pro
- Nombre de messages : 134
Age : 60
Votre côté (mal ou bien) : bien
Date d'inscription : 09/02/2007
Fiche
Fortune:
(1000/5000)
Grade:
Armées:
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